Savoir-faire inspiré et parisianisme assumé font d’Adèle & Jules un repaire capital idéal. Là d’où partir à la rencontre d’un quartier en belle évolution, hier populaire et affairiste, aujourd’hui cœur battant et réjouissant de la nouvelle bistronomie française. Dans un quartier cosmopolite et propice aux flâneries, l'Opéra Garnier comme les Grands Magasins se rejoignent allègrement à pied.
Entre théâtres, joyeuses terrasses et passages couverts, c’est une plongée dans un patrimoine en pleine effervescence.
L'expérience parisienne est ici à portée de contemplation
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Tarifs à partir de 420€ (de 1 à 6 personnes).
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Savoir-faire inspiré et parisianisme assumé font d’Adèle et Jules un repaire capital idéal
L'actualité culturelle à Paris, et dans le quartier des grands Boulevards
La Galerie Dior, qui témoigne de l’audace visionnaire de Christian Dior et de ses six successeurs : Yves Saint Laurent, Marc Bohan, Gianfranco Ferré, John Galliano, Raf Simons et Maria Grazia Chiuri.
L'Atelier des Lumières consacre sa nouvelle exposition à l’Égypte des pharaons à travers les chefs-d’œuvre de cette civilisation qui s’étend sur trois millénaires et fascine toutes les générations. Le voyage immersif emmène le visiteur le long du Nil avec sa faune et sa flore luxuriantes et invite à découvrir la vie quotidienne de l’Égypte ancienne avec ses bas-reliefs, peintures et papyrus anciens.
L'exposition numérique dévoile les vestiges de l’Égypte antique tels qu’ils sont apparus aux scientifiques français lors de la Campagne d’Égypte de 1798 à 1801, et que le peintre David Roberts dessinera. Le visteur est immergé dans cette période de l'Histoire à la découverte des chantiers des pyramides, des temples dédiés aux multiples divinités, aux batailles mythiques qui ont rythmé les règnes des souverains successifs, en passant par une immersion dans la Vallée des rois et la Vallée des reines.
Conçue à la façon d’un labyrinthe, l’exposition « Surréalisme » est une plongée inédite dans l’exceptionnelle effervescence créative du mouvement surréaliste, né en 1924 avec la publication du Manifeste fondateur d'André Breton.
Associant peintures, dessins, films, photographies et documents littéraires, l’exposition présente les œuvres des artistes emblématiques du mouvement (Salvador Dalí, René Magritte, Giorgio de Chirico, Max Ernst, Joan Miró) mais aussi celles des surréalistes femmes (parmi lesquelles Leonora Carrington, Ithell Colquhoun, Dora Maar).
À la fois chronologique et thématique, le parcours est rythmé par 14 chapitres évoquant les figures littéraires ayant inspiré le mouvement (Lautréamont, Lewis Carroll, Sade...) et les principes poétiques qui structurent son imaginaire (l'artiste-médium, le rêve, la pierre philosophale, la forêt...).
Pour son exposition de réouverture après plus d’un an de travaux, le Musée Jacquemart- André présentera une quarantaine de chefs-d'œuvre de la célèbre Galerie Borghèse à Rome. Ce partenariat exceptionnel entre les deux institutions vous offrira une occasion unique d’admirer à Paris un ensemble d’œuvres majeures d’artistes célèbres de la Renaissance et de la période baroque rarement prêtées à l’étranger, du Caravage à Rubens, en passant par Botticelli, Raphaël, Titien, ou encore Véronèse, Antonello da Messina et Bernin.
L’exposition revient sur la période durant laquelle Jackson Pollock (1912-1956) effectue ses premières réalisations marquées par l’influence des muralistes mexicains jusqu’à ses premiers drippings de 1947. Ce corpus témoigne des diverses sources qui nourrissent les recherches du jeune artiste, croisant à l’influence des arts amérindiens celle des avant-gardes européennes, dont Pablo Picasso. Le parcours présente une centaine d’œuvres provenant de multiples institutions comme le Museum of Modern Art, le Centre Pompidou, la Tate ou encore le Metropolitan Museum of Art.
L’exposition ambitionne de présenter en détail les débuts de l'artiste américain, période qui fut le laboratoire de son œuvre et de son mythe, en restituant le contexte artistique et intellectuel dans lequel Pollock a évolué. Chronologique et thématique, le parcours souligne les moments forts des années 1934-1947 tant du point de vue de son œuvre que de la « fabrique du mythe Pollock ». En convoquant ponctuellement certaines figures clefs du parcours artistique de Pollock, l’exposition s’attache à souligner l’intensité et la singularité de son œuvre dans ses différentes dimensions (peinture, gravure, sculpture).
Poète, parolier, scénariste, dramaturge, humaniste engagé, Jacques Prévert (1900-1977) a également consacré une part importante de sa vie aux arts visuels. Par son imagination foisonnante, il a donné vie à une œuvre unique, pleine de magie et d'humanité. Plus de 170 objets de formats divers (peintures, dessins, lithographies, manuscrits, photographies, objets, archives, extraits de films et d’interviews...) racontent un artiste méconnu malgré lui.
Le musée de Montmartre célèbre avec cette exposition les 70 ans de l'installation de Jacques Prévert dans le 18e arrondissement, Cité Véron, au-dessus du Moulin Rouge. Tel un alchimiste, l'artiste jongle avec les images comme il manie les mots. Il les décortique, les assemble, construit et crée des mondes « à la Prévert », nous emportant dans sa rêverie et son temps. Profondément poétiques et visuelles, ces créations viennent enrichir notre compréhension de son univers prolifique.
L'exposition présente des chefs-d'œuvre de la collection du musée Berggruen à Berlin et ayant appartenu à Heinz Berggruen. Cédé à l’État allemand en 2000, quelques années avant la mort du collectionneur, ce vaste ensemble trouve un écho particulier avec la collection Walter-Guillaume du musée de l’Orangerie. La centaine de chefs-d’œuvre de Picasso, Klee, Matisse ou encore Giacometti montre le rôle majeur de cet acteur du marché de l’art parisien de la deuxième moitié du XXe siècle.
Le parcours, entre monographies et focus thématiques, souligne les goûts particuliers et personnels du galeriste et collectionneur, notamment autour de ses deux maîtres favoris : Picasso et Klee. Les choix, rencontres et affinités qui ont dirigé la constitution de cette collection unique sont aussi mis en lumière. L'exposition permet ainsi d'explorer le rapport singulier d'Heinz Berggruen avec ses artistes et son réseau du marché de l’art de l’après-guerre à Paris.
À partir du 9 octobre 2024, Pinault Collection présente à la Bourse de Commerce, une exposition d’envergure dédiée à l’Arte Povera. Entre héritage et influence, l’exposition traverse plus de 250 œuvres historiques, contemporaines, et issues de ce courant artistique italien majeur des années 1960.
Cette exposition s’attache à éclairer aussi bien la naissance italienne que le rayonnement international de ce courant, à travers les œuvres des treize principaux protagonistes de l’Arte Povera : Giovanni Anselmo, Alighiero Boetti, Pier Paolo Calzolari, Luciano Fabro, Jannis Kounellis, Mario Merz, Marisa Merz, Giulio Paolini, Pino Pascali, Giuseppe Penone, Michelangelo Pistoletto, Emilio Prini et Gilberto Zorio.
Au milieu des années 1960, un certain nombre d’artistes italiens – essentiellement originaires de Turin, Gênes, Bologne, Milan et Rome – ont initié un corpus d’œuvres original, libre d'esprit, totalement non conventionnel et non dogmatique, élargissant ainsi les domaines de la peinture, de la sculpture, du dessin et de la photographie, en créant les premières "installations" de l'histoire de l'art, ainsi que des œuvres et des actions performatives.
En utilisant des matériaux et des techniques simples, ces artistes ont créé des installations impliquant le spectateur au sein de l’œuvre. Privilégiant les éléments « naturels » et « ruraux » (tels que la terre, les pommes de terre, la salade, l’eau, le charbon, les arbres, les corps vivants d’animaux et d’humains, etc.), « artificiels » et « urbain » (des éléments trouvés dans les quincailleries tels que les plaques d’acier inoxydable, les lingots de plomb, les ampoules électriques, les poutres en bois, les tubes de néon, etc.), leurs œuvres enclenchent des flux d’énergie physique et chimique, voire psychique, en appelant les notions de mémoire et d’émotions pour interpeller les spectateurs”.
L'exposition se focalise sur la prédilection de Gustave Caillebotte (1848-1894) pour les figures masculines et les portraits d’hommes, et ambitionne d’interroger la modernité des chefs-d’œuvre de l’artiste au prisme du nouveau regard que l’histoire de l’art porte sur les masculinités du XIXe siècle. Cet évènement est organisé l'année du 130e anniversaire de la mort de l’artiste, qui correspond également à la date du legs de son incroyable collection de peintures impressionnistes à l’État.
Dans sa volonté de produire un art vrai et neuf, Caillebotte prend pour sujet son environnement immédiat et les hommes de son entourage. Il fait entrer dans la peinture des figures nouvelles comme l’ouvrier urbain, l’homme au balcon, le sportif ou encore l’homme nu dans l’intimité de sa toilette. À l’époque du triomphe de la virilité et de la fraternité républicaine, mais aussi de première crise de la masculinité traditionnelle, la puissance de ces images questionnent aussi bien l’ordre social que sexuel. Au-delà de sa propre identité, celle de jeune et riche célibataire parisien, Caillebotte porte au cœur de l’impressionnisme et de la modernité une profonde interrogation sur la condition masculine.
Le musée met à l’honneur une pièce méconnue de ses collections, l’Étude de robe de chambre pour Balzac d’Auguste Rodin. Conçue à partir d’une sélection de sculptures issues des collections du musée, de pièces de mode du XIXe siècle du Palais Galliera et d’archives inédites de la bibliothèque de l’Institut de France, l’exposition révèle une enquête sur la recherche d’un corps de Balzac par Rodin. En prenant comme point de départ le processus de création du Monument à Balzac, l’exposition invite plus largement à une réflexion sur l’évolution des représentations du corps dans l’espace public.
Choisi par la Société des Gens de Lettres en 1891 pour sculpter un monument à Balzac, Auguste Rodin se lance dans la quête du romancier disparu depuis près d’un demi-siècle : les étapes de cette enquête seront restituées au fil de l’exposition. Rodin s’attèle ensuite au défi d’incarner Balzac dans la terre et le plâtre quatre années durant. L'exposition rend compte du cheminement du sculpteur vers une idéalisation du corps et se finit sur la confrontation de la statue de Balzac, à une œuvre du sculpteur contemporain Thomas J. Price représentant une femme noire anonyme, en jogging, symbole d’une nouvelle diversité dans la statuaire publique du XXIe siècle.
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